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Les écrits4

La nouvelle : 
Immédiatement après son établissement, le gouvernement Social-Libéral a indiqué parmi ses premiers objectifs l’examen minutieux de toutes les « affaires de corruption », dont il avait accusé depuis longtemps le gouvernement Fidesz-MDF. A part les reportages télévisés et les articles de presse qui informaient le publique de ces accuses et des enquêtes de police mises en marche toute de suite, certains journalistes et spécialistes se sont proposés aussi pour la réalisation de publications plus détaillées qui se seraient occupées de « l’historie de la corruption orbánienne » ; ainsi est né aussi l’idée d’un « Livre Blanc », qui aurait dû contenir les résultats des examens… Malgré les efforts visibles des autorités, cependant, László Keller, sous-secrétaire d’état du Bureau du Premier Ministre socialiste, n’a pu faire connaître au publique cette semaine que très peu de détails concrets et un nombre d’histoires plutôt obscures… 
 
 
Les commentaires : 
 
Compte rendu sur l’état des enquêtes publiques concernant les cas de corruption 
 
par Krisztina Ferenczi 
paru dans Magyar Hírlap, le 7 octobre 2002  
 
 
Le « Livre Blanc », selon toute vraisemblance, ne paraîtra pas, malgré la disponibilité des deux journalistes qui auraient été prêts à se charger de cette tâche. Enfin, c’est uniquement le projet de série télévisée de László Juszt qui se tient encore debout. 
On ne peut faire que des hypothèses en ce qui concerne les raisons pour lesquelles la publication du livre s’est révélée immotivée juste maintenant, vers la phase conclusive de la campagne électorale administrative – selon nos informations, de nombreux publicistes du secteur économique ont refusé le travail, à cause de l’obscurité qui entoure les commettants. Une autre raison peut être constituée par le fait, que les enquêtes ne se sont encore conclues auprès de plusieurs entreprises publiques. 
Áder et Deutsch se sont exprimés concernant ce sujet à propos d’un interview donné par László Keller à un journal électronique, où il demande pourquoi Deutsch, s’il possède tous les documents sur les crimes, dont il accuse Demszky, ne fait pas de dénonciation officielle. Le sous-secrétaire d’état a ajouté aussi qu’à son avis, si le vice-président du Fidesz ne s’adresse pas à la police, s’est parce qu’il a peur d’être immédiatement arrêté lui-même. 
De sa part, Deutsch reproche à Keller de mener la politique des « yeux de verre », au lieu de celle des « poches de verre », puisqu’il ne trouve rien d’équivoque autour des affaires de corruption qui accompagnent les concours publiques de la capitale. Mais l’examen des affaires financières du conseil communal de la capitale n’appartiennent pas à la compétence du Bureau du Premier Ministre, elles doivent être contrôlées par la Supervision Publique ou, dans le cas d’un soupçon fondé, par la police. 
Le sous-secrétaire d’état, d’après les prévisions, aujourd’hui parlera aussi des 4 milliards de forints, payés par le Ministère du Sport, dirigé à l’époque par Tamás Deutsch, pour des système de sécurité projetés pour des nouveaux stades sportifs – lorsque la construction de ceux-ci était encore en une phase loin de l’aboutissement. Parmi les sujets qui devront être traités aujourd’hui par Keller, figurent aussi les observations concernant le fonctionnement de 5 entreprises publiques – dont la Banque de Développement Hongrois et la Konzumbank – examinées par l’S. r. l. Informatique Proware.  
A propos de la Banque de Développement, on parlera sûrement aussi du cas des 12 entreprises agricoles passées gratuitement dans la propriété de la banque publique, suivant le mot d’ordre selon lequel il aurait fallu faire donner de la propriété privée aux employés. Le Procureur en Chef de la République, a affirmé : la modification d’un des décrets du gouvernement Orbán, indispensable pour la privatisation d’une des 12 entreprises, n’a pas été faite.  
Probablement, Keller rendra publiques aussi les résultats de son enquête concernant la compagnie « Millenáris », dont le capital propre correspondait, au début de mai, à moins 948-millions-497-mille forints, ce qui indique un déficit particulièrement remarquable. La compagnie, pendant les deux anées précédentes, avait reçu de l’état une subvention de 4 milliards forints, tandis que cette année elle a financé ses dépenses à l’aide d’un crédit de 1,5 milliard de forints. Probablement on ne fera que quelques mentions des procès pénaux qui sont en cours contre le Centre de Publicité Nationale et contre les entreprises « Happy End » et « Ezüsthajó ». 

 

(c) Agnes Bencze - Créé à l'aide de Populus.
Modifié en dernier lieu le 17.10.2002
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